20/09/2009
L'orchestre

Le temps écrit sa musique
Sur des portées disparues
Et l'orchestre aura beau faire pénitence
Sur des portées disparues
Et l'orchestre aura beau faire pénitence
08:20 Écrit par GreggoryEess dans MonsieurBashung.com au fil du jour... | Lien permanent | Commentaires (9) | Facebook
Commentaires
Quelqu'un est présent au milieu du silence et la brise...
Écrit par : Marcela | 20/09/2009
Le temps écrit sa musique
Sur des portées disparues
Et l'orchestre aura beau faire pénitence
Bravo Etienne pour cette illustration splendide. Je t'avoue que cela fait un petit moment que je cherchais moi aussi à la mettre en image sans trouver la voie. Alors félicitations...
ps: c'est cette phrase que j'ai demandé à Jean Fauque lorsqu'il m'a dédicacé le bouquin de Marc Besse.
Une merveille merci Etienne.
Écrit par : Oliver | 20/09/2009
La journée professionnelle s'annonçait... noir de monde ! Pleins de gens partout, de clients; de demandes !
Et cette image était à l'opposé de ce que j'allais vivre, et elle est resté gravée dans ma mémoire black sur white...
Cette illustration, m'a... absorbé !!!
C'est très beau,très... Genre de photo que l'on peut regarder... indéfiniment !
Et puis ce texte, cette chanson, cette musique, cette ambiance...
Bravo Très Cher Etienne, toujours aussi surprenant !
Écrit par : Greggory Eess | 20/09/2009
Comment autant de silence peut-il évoquer autant de notes musicales ?
Et tout ce public qui applaudit debout ?
Regardez ces arbres fiers, dans leur nudité, du spectacle qui leur a été présenté à huis-clos...
Je pense alors aux Victoires de la Musique du dernier 28 février.
Merci Etienne pour cette vive émotion.
Écrit par : Bashunette | 20/09/2009
Écrit par : Greggory Eess | 22/09/2009
J'espère pouvoir continuer dans ce sens la...
les alter et les égo!
Écrit par : Etienne | 22/09/2009
Bravo!
Écrit par : Bashunette | 23/09/2009
Laissent parfois sortir de confuses paroles;
L'homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers.
Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.
Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
- Et d'autres, corrompus, riches et triomphants,
Ayant l'expansion des choses infinies,
Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens,
Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
En admirant cette magnifique photo n'est venu à l'esprit le poème Correspondance de Baudelaire... "Les parfums les couleurs et les sons se répondent" ... Bravo pour cette image magnifique où les sièges des spectateurs fleurissent comme des coquelicots...
Écrit par : Véro | 30/12/2009
Il est vrai que cette image est... troublante ? Etrange ?Belle ? Difficile de la définir non ? Mais quand on la voit comme là pour la première fois c'est... Fou l'effet qu'elle fait !!
Merci pour correspondance de Baudelaire, que je ne connaissais pas !!
Écrit par : Greggory Eess | 31/12/2009
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