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Night in Bob's Hostel

 

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Amsterdam 07/06/2010

Bob's Youth Hostel

 

Alors que les vapeurs de Ganja commençaient à prendre possession de nos neurones, que les conversations allaient bon train tout autour de nous, résonnèrent les premières notes de Night in White Satin

Certes, ce fut la version des Moody Blues, mais quelle émotion

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"Nights in white satin, never reaching the end,
Letters I've written, never meaning to send.
Beauty I'd always missed with these eyes before.
Just what the truth is, I can't say anymore."

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Tout ça dans cette ville irréelle, hors du temps

 

 

Commentaires

  • Voilà ce que j'aime, de la musique, de la Ganja... et du Cul Bodrel !!!
    Maintes fois je me suis que parfois, nous ne sommes pas assez trash, écoutons, ré écoutons Bashung à ses débuts, ses premiers albums, c'est du trash, du trash à fond !!! Bashung c'est la défonce et le cul !! Tel est comme je le décrivais pour les premiers albums, il reflétait ma vie, mes obsessions la défonce; et les gonzesses !! Sommes-Nous !!

    Merci Etienne, Mister Etienne !!!! Je tombe sur ce post après une belle soirée !! J'aime cette ambiance, ce cliché maison qui est authentique, qui vit !!!! Bashung c'est ça, et plein d'autres chose mais avant tout; ça !!!!
    Amsterdam est une ville magique, plein de... d'endroit fort sympathique, de vélos; et de très jolies filles !!!!!

    Alors à très bientôt sur les rives d'un vieux, très vieux port...

    Osez; Osez!!!

  • Excellent ! comme quoi Amsterdam est le refuge des bashunguiens, j'y étais il y à quelques semaines.
    En dégustant quelques mets rapportés de ce beau pays ( je ne parle pas de fromages) je me suis aussi fait la réflexion que Bashung vaut bien un long trip. Et si une espèce de champignon portait son nom ?
    Suis aussi partante pour une dose non dissimulée de trash : "abattons la cloison, arrachons les plaintes" c'est lui qui le dit...
    Merci les garçons pour vos posts enflammés; L'évocation de son œuvre ne supporte pas la médiocrité et encore moins la tiédeur !

    Faites tourner et faites monter

  • Ceci explique donc cela:
    http://www.monsieurbashung.com/archive/2010/06/06/quoi-ma-retine.html

  • J'ai visité Amsterdam il y a quelques années. Je me souviens du Doors et du Rasta Baby^^

  • @ Olivier : Ahahahahah excellent !!!!
    @ Gadras : J'ai séjourné à Amsterdam une dizaine de fois au moins; et je ne rappelle plus d'rien du tout !!! C'est normal ???

  • D'accord avec ton premier comment' Greg, sur le fait que Bashung était trash... défonce et cul !!
    Mais en dehors de "Trompé d'érection" qui porte aussi la marque de Gainsbourg, Bashung a toujours fait dans la finesse et dans l'évocation subtile voir subliminale, contrairement à son ainé aux textes bien souvent crus et explicites...
    Comme je l'avais déjà dit ailleurs, dans ses textes, on peut presque parler de vices cachés...
    Je pense par exemple à "Toujours sur la ligne blanche" qu'on peut parfaitement écouter et apprécier sans jamais faire le lien avec la coke. Le texte garde un sens et reste même rock'n'roll...
    Idem pour "C'est comment qu'on freine" , encore une métaphore routière pour évoquer l'adiction sexuelle...

    Ou encore le fabuleux:
    Ah il sait tout mon petit / Tes parties avec mes revenus
    Que d'allées venues / Vers quel crayon s'est-elle taillée désormais?..

    Et le grand bonheur, c'est lorsqu'on se rend compte de la perversité d'un texte qu'on croyait pourtant bien connaître...

  • tu veux m'dire quoi tu m'dis que :

    " Oune dé oune dé oune dé
    Y a oune dé ké pipé ? "

    j'aime ce petit côté Dirty Bashung

  • Bien d'accord en effet sur la comparaison entre les textes de Gainsbourg et ceux de Bashung. Ce qui est très fort, comme tu dis, c'est de pouvoir découvrir des années après le sens d'un texte, ou un petit quelque chose qu'on avait pas capté depuis des années !!!
    J'adore d'ailleurs : "vers quel crayon s'est-elle taillée désormais" j'adore !!!!

    Enfin bref, que des scènes de manager quoi !!!!!!

  • Bon, je vais essayer de répondre à tous !
    Déjà, je suis content que cela est pu vous faire remonter des souvenirs, plus ou moins récents et plus ou moins... clairs !

    Lorsque j'ai vu le post de Greg, en rentrant du voyage, oui, Oliver, j'y ai immédiatement pensé !

    Et que dire de ces albums de Bashung, où ces sujets sont si joliment et peu explicitement évoqué, c'est ce qui fait tout le charme en effet.
    J'avoue que de nombreuses fois, j'ai étais surpris à finalement découvrir le vrai sens de certaines paroles, je ne sais pas pourquoi, mais à la 153ème écoute, quelque chose se passe, et le morceau prend beaucoup plus de sens.

    C'est ce qui est magique avec Bashung, c'est qu'il reste toujours des trésors à découvrir, c'est peut être aussi l'une des raisons qui fait que l'on ne s'en lasse pas !

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