Certains trouverons que c'est trop tôt, d'autres que ce n'est pas génial. Ce qui est sûr, c'est que ce n'est pas Bashung, mais un de ses chef-d'oeuvre interprété par un des seul héritier crédible à mes yeux, le fantasque Arthur H.
Jamais aussi brillant que dans la sobriété, il nous livre ici sa version de "La nuit je mens", à cent mille lieux de son H-man déjanté...et c'est tout bon.
Bel hommage !
posté par Olivier