16/08/2009
Les néons

Que m'enseignent encore ces néons
Rien qui me fasse réfléchir
Au-délà des halos
On se noie dans des murmures
On se pend au bout du fil
Et du reste on en a cure
Un âne plane (Alain Bashung- Jean Fauque / Alain Bashung)
album Chatterton 1994
détourné et posté par Olivier
15:49 Écrit par GreggoryEess dans MonsieurBashung.com au fil du jour... | Lien permanent | Commentaires (6) | Facebook
12/08/2009
Waterloo, Waterloo
19:41 Écrit par GreggoryEess dans MonsieurBashung.com au fil du jour... | Lien permanent | Commentaires (9) | Facebook
10/08/2009
Bashung l'iréel

Un jour j'irai vers l'irréel
Tester le matériel
Voir à quoi s'adonne
La madone
Un jour j'irai vers une ombrelle
Y seras-tu
Y seras-tu
Y seras-tu
photo: Laurent Séroussi 1998
posté par Olivier
23:53 Écrit par GreggoryEess dans MonsieurBashung.com au fil du jour... | Lien permanent | Commentaires (3) | Facebook
Noir de Monde

Grouille la foule dessaoulée
Ses envies au hachoir
Et un grand merci à Mr Bashung, Fauque et Hopper.
14:52 Écrit par GreggoryEess dans MonsieurBashung.com au fil du jour... | Lien permanent | Commentaires (5) | Facebook
08/08/2009
Bashung et SOS Racisme
Comme l'a poliment rappelé notre "hyper-président", dans son hommage au chanteur disparu, Alain Bashung était un artiste engagé. Evidement pas un VIP des associations carritatives, un people de la charité, un "Enfoiré" ou autres "Chanteurs Sans Frontières", mais on a tendance à l'oublier, le rocker participa activement au lancement de S.O.S. Racisme en lui offrant son hymne "Tu touches pas à mon pote" et une participation au méga-concert de la Concorde, devant 300 000 spectateurs, le 15 juin 1985.
Bashung, "l'enfant von dem hasard", artiste accompli, aux origines incertaines.
Bashung, la bête de scène contre la bête immonde.
Bashung, qui sera toujours cet étranger au regard sombre...
Bashung, l'imprudent qui bien des années plus tard évoqua encore subtilement ces "tueurs de mémoires à la conscience obèse".
Bashung, mon héros préféré.
Bashung, Alain Bashung, Monsieur Bashung Alain...
Bashung déçu...Hélas, le maître gardera un sentiment mitigé de cet engagement, avec à juste titre, l'étrange impression que plus la lutte et les convictions étaient fortes, plus le racisme, la xénophobie et l'intolérance progressaient. Vos luttes partent en fumée...
Malgré tout, de ce combat sincère et précurseur, il reste aujourd'hui une chanson "Tu touches pas à mon pote", un peu oubliée, sans doute pas la meilleure de son répertoire, mais pleine de soleil, colorée, et chaloupée.
Souvenirs...
Quand t'as plus rien à fumer
Tu passes les blacks à tabac
Dans un moment d'égarement
Il te vient les sanglots
Séparer les blancs des jaunes
Fouetter généreusement
On n'est jamais à l'abri
D'une piqûre de meringue
posté par Olivier
20:14 Écrit par GreggoryEess dans MonsieurBashung.com au fil du jour... | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook