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fauque - Page 11

  • J'ai dans les bottes des montagnes de questions


    J'ai dans les bottes....jpg

    Où subsiste encore ton écho
    Où subsiste encore ton écho


    J'ai fait la saison
    Dans cette boîte crânienne
    Tes pensées
    Je les faisais miennes
    T'accaparer seulement t'accaparer
    D'estrade en estrade
    J'ai fait danser tant de malentendus
    Des kilomètres de vie en rose

    podcast

     

    La nuit je mens ( Alain Bashung- Jean Fauque / Alain Bashung )

    Fantaisie Militaire ( 1998 )

     

    détourné et posté par Olivier

  • La tenue léopard

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    Après d'âpres hostilités
    Tu me prenais la main et ça tournait
    Tu me disais
    C'est la faute au cerveau
    Ces faux départs
    Drapés dignes
    Reprenons les grandes manoeuvres
    La tenue léopard
    Je ne suis là que pour toi
    Je ne suis là que pour toi
    J'ai un songe
    Une hypothèse
    Un projet de baise

    C'est le fruit d'une mûre réflexion
    Mais plutôt une pulsion
    Sans nom sans définition
    Mon unique solution
    Pure laine coton
    C'est pas le fruit
    C'est pas la saison
    C'est pas la raison


    Apres D'apres Hostilités ( Alain Bashung- Jean Fauque / Alain Bashung )

    Chatterton ( 1994)

    photo Kathy Le Sant

    posté par Olivier

  • L’hymne à mon héros

    2002-10-27_Gresse-en-Vercors01.jpg

    Ce fut la première, ma première fois, avec Bashung. Celle qui laisse un souvenir que l’on n’oublie jamais, celle qui nous marque à vie, celle que l’on veut revivre. Elle est pour moi, indéfinissable, hors-du temps et parfaite, comme à la première écoute.

    La nuit je mens. Elle sonnera toujours en moi comme celle de l’apprentissage, l’époque ou je perdis ma « novicité »   

    Dans le Vercors, c’est sur deux fronts qu’elle m’attaque. Tantôt susceptible de me faire pleurer, ces morsures de murènes que peut nous offrir la vie. Tantôt elle me rend cette force que je croyais avoir perdue. Alors je le prends ce train, cet express à travers la plaine et je repars au combat. Résister, c’est ça oui c’est ça.

    C’est ainsi, dans ces longues nuits d’hiver ou ces étranges étés, que je vogue à Ostende ou Sfax, j’y reviens toujours par moment, car elle résonnera toujours comme l’hymne à mon héros

    Et oui, son écho subsiste encore et encore, en moi et dans les gorges escarpées du Vercors…