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Serge Gainsbourg sur monsieurBashung.com - Page 5

  • Re-Tête de chou...

    affichechou.jpg

     

     

    L'avantage de vivre en Province comme disent les Parisiens, c'est que réguliérement vous passez week-end et autres repos dans la capitale, pour profiter des concerts et spectacles, mais vous pouvez savourer ces mêmes concerts et spectacles, quand ces deniers passent... en Province (oh pitain con) !!!!

    Tout tremblant encore au souvenir de ce beau spectacle au Théâtre du Rond-Point que nous avons savourer entre Apache, je suis plus que très heureux d'aller, un nouvelle fois ce soir, déguster cette bouillonnante création.

    Il m'aura fallut courage et patience, pour arriver jusque là. C'est en effet mon Père Noel préféré, qui m'avait remis en main propre, les précieux sésames pour ce soir. J'ai hâte, et merci encore, très chère toi...

    Lors de la première fois à Paris, je m'étais efforcé de ne pas écouter l'interprétation de Bashung avant, laissant donc place à une énorme surprise, tel un choc en plein chou ! J'avais été destabilisé par tous ces paramétres inconnus, ajoutant à cela, l'exitation de l'attente, de la découverte...

    Ce soir, j'avance donc en terrain légèrement connu, je vais pouvoir être plus attentif, moins décrocher; J'ai hâte !

    Il y a donc de bonnes raisons d'avoir fuit la vie Parisienne, pour venir vivre en Province. Tout d'abord car je monte très régulièrement, et que je vois presque plus de spectacles à Paris que j'ai pu en voir en y vivant, et parce que surtout, surtout; je vais voir deux fois L'homme à tête de chou...

  • C'est Lavabo

    bashung, gainsbourg, play blessures,lavabo,chloé mons

     Rejoins ta base
    Au bar tab’
    Si on te cherche des noises
    Fais comme d’hab’
    La fille du patron
    Faut lui donner
    Pour la tirer de là
    Tu sais où c’est
    C’est lavabo

    Fond du couloir troisième porte à droite
    Lavabo
    Tu cherches la lumière et c’est l’impasse
    Tu voudrais que ça débouche sur quoi

     

    podcast

     

    Lavabo (Alain Bashung- Serge Gainsbourg / Alain Bashung )
    PLAY BLESSURES ( 1982 )
    Détourné et posté par Olivier
  • Gainsbourg Inédit...

    gainsbourg, inédit

     

    Parce que, parce que c'est vous, parce que c'est lui, parce qu'on en parle, parce que 20 ans, parce que Bashung, parce qu'il n'y a rien d'autre à dire...

    Voici quelques interprétations Gainsbouriennes inédites, pour vous, rien que pour vous !

     

    Cliques ici, Toi l'Apache, et savoure...

     

    Et puis parce que ça, ça traine dans ma bibliothéque depuis très longtemps aussi, alors, c'est l'occasion...


    podcast

     

    Inoubliable, Indémodable, Intemporel... Serge Gainsbourg.

     

     

    Parce que, reprise de Charles Aznavour - 1963 -


  • Dans la tête de L'homme à tête de chou...

     

     

     

     

    Cette histoire n'a jamais cessée de me hanter depuis que je la connais, et elle continuera jusqu'à la fin.

    Parce qu'elle est vraie, plausible, passionnante, bouillonnante, déchirante, terriblement sexuelle, terriblement sensuelle... narrée comme une confession que vous fait un inconnu, un verre à la main, après deux bonnes bouteilles de Bourgogne au fond d'un troquet sans nom.

    On est dans l'intimité du conteur, on voit Marilou petit chou prise dans le sirocco du séchoir dans les cheveux de sa victime, on la voit entre deux macaques genre festival à Woodstock; on la touche presque...

    Ecouter L'homme à tête de chou tout en marchant dans une foule dense par exemple, c'est extraordinaire. Vous avez l'impression qu'au milieu de ce brouhaha, la confesse se fait au creux de votre oreille.

    Marilou petit chou, qui me roulait entre ses doigts comme du Caporal, Me suçotait comme un cachou...

    Toute une histoire, une folie, une perte d’adhésion, perte de réalisme. L’homme glisse, la femme périe, et entre les deux, les amants sont là. J’aime entendre le carillon d’entrée du salon de coiffure où officie la jeune chienne shampooineuse de son état.

     

    J’aime entendre Gainsbourg parler de sa rencontre avec cette sculpture, et la relation qu’il ont entretenu tout les deux, après l’avoir payé cash et fait livré chez lui. Il évoque d’abord une certaine distance, un mutisme, puis, l’homme à tête de chou a commencé à se livrer...

     Voir Alain Bashung nous jouer cette histoire sur scène, aurait vraiment été un cadeau du ciel, certainement le plus beau choc culturel de ma très modeste culture. Le séisme est pourtant déjà assez comme ça, même avec son absence.

    Avoir le privilège de revoir ce spectacle, dans son contexte actuel, avec toute l’épaisseur que cette histoire a pu prendre durant toutes ces années (1976), avec cette voix off, avec ces danseurs, avec ces jolies Marilou, est un vrai régal, un vrai plaisir, de ceux qui vous font vous impatienter, trépigner, vous font un flash forward inside !!!

    La première fois, le choc fut trop fort. M’étant totalement refusé d’écouter le moindre extrait de la version Bashung avant d’être assis devant la scène pour le live show, rien que les premiers mots m’ont happés pour ne plus me lâcher !! Là, j’aurai peut-être les émotions un peu moins censurées.

    Je pourrai alors me prélasser dans, et me délecter des Variations sur Marilou, qui pour moi, je crois, est l’un des plus beaux textes de Serge Gainsbourg.

    Lorsque qu’il ya quelques années je me suis trouvé face à la sculpture de L’homme à tête de chou, dans une exposition, le choc fut énorme, énorme, indescriptible. Je suis resté figé un temps indéterminable, muet, j’étais là, face à lui, c’était merveilleux. Quand j’ai senti ce que cela me procurait, à l'intérieur je me suis dit que Les parasites de radio poux m’ont brouillés mes messages Fou que je suis de toi ; Marilou...